Aux génériques des films nommés aux César 2022

Cette année, 52 anciennes et anciens sont au génériques des films nommés aux César. 4 d’entre-eux sont directement nommés dans leurs catégories.

ILLUSIONS PERDUES de Xavier Giannolli


15 nominations dont meilleur film

  • Bertrand Faucounau : 2eme assistant opérateur (cinéma, 2012)
  • Luc Pallet : 1er assistant opérateur (cinéma, 1993)

Production : Curiosa films / Gaumont

ANNETTE de Léos Carax


11 nominations aux César dont meilleur Film

  • Erwan Kerzanet : Ingénieur du son (son, 1997) César du meilleur son
  • Olivier Guillaume : Mixage (son, 2010)
  • Nicolas Duport : Mixage (musique) (son,1996)

Production : CG Cinema

ALINE, de Valérie Lemercier


10 nomations

  • Laurent Dailland : Direction de la photographie (cinéma, 1977)
  • Maud Lemaistre : 1ere assistante caméra (cinéma, 2000)
  • Arnaud Gervet : 1er assistant caméra (cinéma, 2001)
  • Pierre Mazard : 1er assistant caméra (cinéma, 1992)
  • Charlie Cabocel : Ingénieur du son (Son, 2013)
  • Arnaud Rolland : Son (son 1998). Nommé pour le César du meilleur son
  • Edouard Morin : Son (son 2004). Nommé pour le César du meilleur son
  • Daniel Sobrino : Son (son 1994). Nommé pour le César du meilleur son

Production : Rectangle Productions / Gaumont

BAC NORD, de Cédric Jimenez


7 nominations

Florent Tite : 1er assistant Camera (cinéma, 2011)

  • Aloyse Launay : Assistante montage son (son, 2018)
  • Samuel Delorme :Technicien (audi mixage) (son, 2018)
  • Thomas Wargny : Technicien (audi mixage) (son, 2015)

Production : Chi-Fou-Mi Productions

LA FRACTURE de Catherine Corsini


6 nominations

Jeanne Lapoirie : Directrice de la photographie (cinéma,1984

  • Romain Baudéan : 1er assistant camera (cinéma,2010
  • Louise Hartvick : 3eme assistante caméra (cinéma,2018
  • Nicolas Cantin : Ingénieur du son (son, 1994)
  • Jeanne Delplancq : Montage Son (paroles) (son, 2009)
  • Olivier Goinard : Mixage (son,1998)

Production : CHAZ Productions

BOITE NOIRE, de Yann Gozlan


5 nominations

  • Pierre Cottereau : Directeur dde la photo (cinéma,1994)

Production : WY Productions / 2425 production


Data&Pixel : La Sociophotographie enquête sur la transition numérique


« La sociophotographie enquête sur la transition numérique ».

Data&Pixel

Atelier-laboratoire soutenu par l’EUR ArTeC, MIP (module d’innovation pédagogique), encadré par Sophie Jehel, maîtresse de conférences habilitée à diriger des recherches, chercheure au CEMTI (Université Paris 8) – Centre d’études sur les médias, les technologies et l’internationalisation et Véronique Figini, maîtresse de conférences à l’ENS Louis-Lumière (Carnet de recherche : https://4p.hypotheses.org).

Dans le cadre du MIP ArTeC « La sociophotographie enquête sur la transition numérique », les étudiant.es du Master « Plateformes numériques, création et innovation » de l’université de Paris 8 Saint-Denis, et du Master Photographie de l’École nationale supérieure Louis-Lumière présentent les enquêtes qu’ils ont réalisées cette année sur trois thèmes : Accélérer, Aimer, Mobiliser dans la transition numérique.

Les enquêtes explorent la manière dont les plateformes viennent accélérer les interactions humaines, les dynamiser, les phagocyter aussi. Elles sont devenues des espaces de diffusion quasi obligatoires pour les musiciens, les photographes, mais au prix de métamorphoses de leurs métiers, voire de formatage de leurs productions. A travers les fonctionnalités du « web affectif », elles transforment l’amour du monde en amour du smartphone, et ne favorisent pas autant qu’on pourrait le croire l’amour de soi, qui s’acquiert, d’après les enquêtés, bien souvent par des formes de distanciation. Elles offrent des opportunités pour se mobiliser, développer des consommations nouvelles (plus écologiques?), à condition que les informations soient disponibles et inspirent la confiance, ce qui est parfois compliqué sur les sujets sensibles.

Les étudiant.es ont recueilli des expériences d’usagers qui permettent de saisir l’impact du fonctionnement des plateformes numériques sur les pratiques sociales. En regard, les travaux photographiques expriment les émotions ressenties, évoquent le foisonnement de l’information, des images, mettent en scène les expérimentations de l’identité qui peuvent s’y jouer, dans un jeu de caché-montré, souvent indiscernable pour le spectateur. Le travail photographique est à la fois journal intime, portrait, trace des phénomènes sociaux et numériques, c’est aussi un médium utilisé pour sa puissance interprétative et imaginative. Il sert différents desseins, artistiques, militants ou simplement ludiques. Les jeunes photographes sont particulièrement sensibles aux possibilités mais aussi aux rétorsions exercées sur les plateformes numériques où ils se doivent d’être présents pour se faire connaître et développer leur art.

Les débats organisés et modérés par les étudiant.es permettront une rencontre entre professionnel.les, photographes, chercheur.es et étudiant.es. Trois tables rondes sont organisées autour des problématiques suivantes : l’intensification des échanges, par l’accélération des stratégies des plateformes; la mise en jeu des émotions et des sentiments sur les plateformes; les avatars de la mobilisation dans le domaine professionnel comme dans le domaine des campagnes de communication environnementales. Elles s’appuient sur les recherches des étudiant.es, écrites et visuelles, construites dans une double logique socio-photographique qui repose sur des enquêtes de terrain, par entretien, et des créations visuelles. Ces travaux sont réalisés dans le cadre d’un atelier-laboratoire, et publiés sur le site dédié https://numerique-investigation.org/.


Lancement de la 1ere édition du "Victorine Narrative Lab"

La 1èreédition de ce programme, créé par Sylvie Landra et Sébastien Cauchon, vient d’être lancée à Nice.

Suite à un appel à projets, 6 lauréats ont été sélectionnés à partir de leur projet de scénario de long-métrage parmi plus d’une centaine de candidatures, par un comité composé de représentants de Prime Vidéo, de l’Ecole Louis-Lumière, de la Ville de Nice (Studios de la Victorine) et des créateurs et curators du projet.

Les scénaristes débutants sélectionnés seront accompagnés et encadrés dans leur travail de réécriture par 6 auteurs professionnels qui leur apporteront un soutien artistique durant les 5 mois du programme.

Une première session de rencontres et de développement a eu lieu du 24 au 26 janvier aux Studios de la Victorine. Le programme se poursuit en ligne avec des séances de travail, d’écriture et de formation. À la fin du programme, Prime Video aura la possibilité d’acquérir les droits de ces scénarios en priorité, et les développer en partenariat avec l’auteur : ces projets pourraient devenir, à terme, les prochains films Amazon Original.

Ce programme d’écriture vient s’inscrire dans le cadre du projet de renouveau des Studios de la Victorine qui repose notamment sur le développement de la formation aux métiers de l’audiovisuel et du numérique.

De gauche à droite : Gilles Marchand, Nicolas Thibaud, Nicolas Avrand, Nadia Salem, Emmanuel Courcol, Delphine Gleize, Amina Sall, Marie-Mathilde Peyralbe , Nicolas Saada, Mounia Meddour. Manquent Roman Sitruk et Laurette Polmanss.

Les lauréats 2022

  • Nicolas Avrand pour ECHOS
  • Amina Sall pour LE CŒUR EN EQUILIBRE
  • Marie-Mathilde Peyralbe pour LORSQUE NOUS ETIONS ENCORE ENFANTS
  • Nadia Salem pour UNE FEMME EN GUERRES
  • Roman Sitruk pour LES REGLES DU JE
  • Nicolas Thibaud pour FEROCES

Les mentors 2022

  • Emmanuel Courcol
  • Delphine Gleize
  • Gilles Marchand
  • Mounia Meddour
  • Laurette Polmanss
  • Nicolas Saada

A propos des mentors 2022 du « Victorine Narrative Lab »

Emmanuel Courcol

Emmanuel Courcol commence sa carrière en tant qu’acteur sur les planches (une trentaine de pièces) et les écrans de cinéma et de télévision. A partir des années 2000 il s’oriente progressivement vers l’écriture de scénario, co écrivant quatre films avec Philippe Lioret (Toutes nos envies, Welcome, L’Equipier, Mademoiselle), et en collaborant avec Arnaud Viard (Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part), François Favrat (Boomrang), Kamen Kalev (Tête baissée), Edouard Bergeon (Au nom de la terre). Il passe à la réalisation en 2012 avec un premier court métrage Géraldine je t’aime, puis réalise son premier long métrage, Cessez-le-feu en 2015 avant d’enchaîner en 2021 avec Un Triomphe, qui obtient le Prix du Public du Festival du Film Francophone d’Angoulême et le Prix de la meilleure comédie de l’année à la 33ème cérémonie des Prix du Cinéma Européen.

Delphine Gleize

Diplômée de la Femis, Delphine Gleize remporte le César du Meilleur court métrage en 2000 pour Sale battars son premier film. Habituée du Festival de Cannes, elle présente en 1999 son court métrage Un château en Espagne à la Quinzaine des Réalisateurs, puis Les Méduses à la Semaine de la Critique en 2000 avant de concourir pour son premier long métrage Carnages, dans la section Un Certain Regard en 2002. Puis elle réalise L’Homme qui rêvait d’un enfant en 2007. La même année, Jean Rochefort lui propose de réaliser avec lui le documentaire Cavaliers seuls. S’ensuivent La Permission de minuit en 2011 et Beau joueur en 2019. Par ailleurs elle écrit pour d’autres : Cet été-là…, réalisé par Eric Lartigau, actuellement en tournage et T’as quel âge ? co-écrit avec Thomas Bidegain et Eric Lartigau. Elle fait aussi régulièrement des consultations/accompagnements, et intervient auprès d’Ateliers d’écriture, ceux d’Angers qu’elle a chapeautés avec Jeanne Moreau, ceux du CLOS, liés au FIFIB, ainsi que pour le Groupe Ouest, entre autres.

Gilles Marchand

Ancien élève de l’IDHEC (actuelle Fémis), Gilles Marchand écrit ses premiers scénarios avec Laurent Cantet (Les Sanguinaires, Ressources Humaines, César du meilleur scénario en 1999), puis avec Dominik Moll Harry, un ami qui vous veut du bien, sélectionné en compétition au Festival de Cannes et nommé au César du meilleur scénario en 2000. Il collabore depuis avec de nombreux autres cinéastes, notamment Jean-Paul Rappeneau (Bon voyage), Cédric Kahn (Feux rouges et L’Avion), Valérie Donzelli (La Guerre est déclarée et Marguerite et Julien) et Robin Campillo (Eastern boys). Avec Dominik Moll, il écrit également les scénarios de Qui a tué Bambi, L’Autre Monde, Lemming, Des nouvelles de la planète Mars et plus récemment Seules les bêtes. Gilles Marchand a 3 réalisations à son actif : Qui a tué Bambi en 2003, L’Autre monde en 2010 et Dans la forêt en 2016. Il a également écrit et réalisé la série documentaire Grégory produit et diffusée sur Netflix en 2019.

Mounia Meddour

Mounia Meddour est scénariste et réalisatrice de documentaires (Particules élémentaires, La Cuisine en héritage, Cinéma algérien, un nouveau souffle). Après un premier court-métrage Edwige, son premier long-métrage de fiction, Papicha, est sélectionné au Festival de Cannes en 2019 dans la section Un Certain Regard. Le film a été récompensé de trois prix au Festival du Film Francophone d’Angoulême, et a obtenu en 2019 les César du meilleur premier film et du meilleur espoir féminin. Il a également été sélectionné aux Oscars 2020 pour représenter l’Algérie dans la catégorie Meilleur film étranger. Mounia Meddour a reçu le Gold Fellowship Award for Women 2020 de l’Académie des Oscars.

Laurette Polmanss

Ancienne élève de La Fémis, Laurette Polmanss a réalisé trois courts métrages, et collaboré à plusieurs scénarios de Catherine Corsini : La Belle Saison (2015), Un amour impossible (2018) et La Fracture (2021). Ses scénarios ont été nommés au Prix Lumière pour La Belle saison et aux Césars pour Un amour impossible. La Fracture (2021), était en sélection officielle (Compétition) au Festival de Cannes 2021.

Nicolas Saada

Réputé pour son émission de radio Nova fait son cinéma, consacrée aux musiques de films entre 1993 et 2007, Nicolas Saada a été chargé de programmes à ARTE entre 1992 et 1998 aux côtés de Pierre Chevalier et a ainsi participé à l’élaboration de plus d’une centaine de films. Il a également été journaliste aux Cahiers du cinéma de 1988 à 2000 où il s’est longtemps spécialisé dans le cinéma américain et asiatique. Il coécrit son premier scénario en 1999 pour un film de Pierre Salvadori, Les Marchands de sable. Suivront d’autres collaborations avec Arnaud Desplechin (Léo, en jouant « Dans la compagnie des hommes »), Jérôme Cornuau (Dissonances) ou Frédéric Jardin (Nuit blanche). En 2004, après un son premier court métrage, Les Parallèles, nommé au César du meilleur court métrage en 2005, il écrit et réalise en 2009 son premier long métrage, Espion(s). Son deuxième long métrage Taj Mahal sort en 2015. En 2018, il écrit et réalise Thanksgiving, une mini-série en 3 épisodes pour la télévision.


César 2022 - Le RDV des Révélations 2022 par les étudiant.e.s du Master Photographie ENS Louis-Lumière

En partenariat avec

Formation initiale

Dans le cadre du partenariat avec l’Académie des César, les étudiant.e.s de deuxième année du Master Photographie de l’Ecole Louis-Lumière ont couvert l’évènement, lundi 10 janvier 2022 du RDV des Révélations 2022.

Retrouvez un florilège de photos dans le diaporama et plus de photos ici.

Partenariat encadré par Christophe Caudroy

Florilège de photographies – RDV des Révélations César 2022


Diplômé.e.s Promotion 2021


Les étudiant.e.s des Master Cinéma, Son, Photographie, de l’Ecole Louis-Lumière de la promotion 2021 ont pu recevoir leurs diplômes lundi 10 janvier 2022.

Félicitations à tout.e.s !

crédits Julien Massicard

Retrouvez la liste des diplômé.e.s par Master en documents à télécharger. Pour plus d’informations sur leurs sujets de mémoire, vous pouvez vous reporter à la partie Recherche du site.


Diplômé.e.s Promotion 2020


Repoussée d’un an en raison de la crise sanitaire, la cérémonie a pu se tenir en comité restreint lundi 10 janvier 2022.

Les étudiant.e.s de l’Ecole Louis-Lumière du Master Cinéma, Master Son, Master Photographie ont pu à cette occasion recevoir leurs diplômes.

Nous les en félicitons.

crédits Julien Massicard

Retrouvez la liste des diplômé.e.s par Master en documents à télécharger et les informations sur les mémoires dans la partie Recherche du site de l’Ecole.


Repenser la transition numérique, Colloque international Beauviatech


beauviala

L’événement aura lieu les 1 et 2 décembre à la Cité du Cinéma à Saint-Denis et le 3 décembre à la Fémis à Paris.

« Adieu 35 : la révolution numérique est terminée » titraient les Cahiers du cinéma en novembre 2011, marquant la fin d’une époque liée à une certaine forme de cinéphilie fondée sur l’argentique, mais également la fin d’une période de transformation que d’aucuns ont pu considérer comme radicale. Pourtant le terme de « révolution », partagé par une grande majorité des discours sur le cinéma depuis son entrée dans le troisième millénaire, ne rend pas compte des modalités singulières de ce changement de paradigme. En effet, si ce terme charrie avec lui l’idée de rupture et de remise à zéro, force est de constater que « l’ère numérique » se caractérise par une forme d’hybridité, reposant pendant plus d’une décennie sur la cohabitation (plus ou moins harmonieuse) de deux paradigmes techniques quant au tournage et à la diffusion des films. Que ces derniers soient tournés sur pellicule puis numérisés pour le montage (et diffusés également numériquement), ou filmés avec des caméras DV ou HD avant d’être transférés sur un support 35 mm, on constate bien dans quelle mesure « l’ancien » et le « nouveau » monde s’articulent, au point que cette rencontre finisse par constituer un enjeu fort au sein de l’institution cinématographique.

Cela n’empêche pas l’usage répété de cette idée de rupture ornant la couverture d’une multitude d’ouvrages consacrés à cette période, ou investissant l’écriture dans le cadre de recherches spécifiques. De fait, si des changements profonds se sont bien opérés au sein du cinéma ces vingt dernières années, sans doute serait-il plus légitime de privilégier l’idée de « transition » ou encore de « mutation » numérique à celle de « révolution », afin, d’une part de marquer la dimension progressive de cette transformation, et d’autre part de donner à entendre que cette dernière ne se limite pas à un simple passage de relais technique. Que l’argentique et le numérique puissent ainsi cohabiter (même encore aujourd’hui alors qu’on estime assez largement que cette transition est « terminée ») nous incite en réalité à penser que le changement opéré ces dernières années au sein de l’institution-cinéma est plus souterrain que sa mise en avant dans les médias et les discours ne le donne à percevoir. Ce sont les modalités et les enjeux de cette mutation/transition que ce colloque se donne pour ambition de creuser, dans des perspectives diverses.

L’ENS Louis-Lumière et La Fémis ont connu cette transition numérique, et ont donc dû adapter leurs méthodes, leur matériel, leurs modalités d’apprentissage ainsi que leur approche théorique du cinéma, à ce bouleversement qui touche autant la technique que l’imaginaire des formes qu’elle permet de déployer. D’où l’importance d’un dialogue nourri avec les professionnels : quatre tables rondes viseront ainsi à mieux saisir, par le biais de la parole des différents acteurs de cette transition (techniciens, fabricants de matériel, cinéastes, collaborateurs divers), les enjeux qui la déterminent en profondeur.

Conformément aux directives gouvernementales, le pass sanitaire ou la présentation d’un test PCR datant de moins de 72 heures (ou test antigénique de moins de 48h) vous sera demandé.

Jauge limitée.

TELECHARGER

Programme

LIENS

Inscriptions

A réécouter : le bokeh de A à Z, podcast du "Monde de la photo"


Doux, harmonieux, crémeux, vaporeux… les qualificatifs ne manquent pas quand on évoque le fameux bokeh et donc la profondeur de champ entre passionnés. De quoi imaginer un nouveau débat pour tenter de dépassionner l’emphase populaire en compagnie d’un éminent professeur de l’école ENS Louis Lumière. (fautpaspousserlesiso.com)

 

 

 

Animateur
Arthur Azoulay

Co-Animateur :
Benjamin Favier,
Rédacteur en chef,
Le monde de la photo

Invités

Pascal Martin
Enseignant – chercheur
Responsable du laboratoire d’optique appliquée
École ENS Louis Lumière

Ghislain Simard
Photographe

Pierre-Yves Maitre
Image Quality Engineer
DXOMARK

Volker Gilbert
Auteur, journaliste


Séminaire "Enseigner la photographie en Europe"


banner

Une conférence inaugurale et deux tables rondes examinent la notion plurielle de diversité
dans les établissements européens enseignant la photographie.

Mots d’accueil : Laurence Engel, présidente de la BnF ; Vincent Lowy, directeur de l’ENS Louis-Lumière ; Fannie Escoulen, cheffe du département de la photographie au ministère de la Culture

Introduction : Vincent Spinette, Haute École Libre de Bruxelles Ilya-Prigogine (HELB), Belgique

Conférence inaugurale : Raphaële Bertho, maîtresse de conférence à l’université de Tours

Table ronde 1 : Diversité : genre, représentation, représentativité

Depuis 2017, les initiatives pour encourager l’égalité femme-homme dans le domaine de la photographie se sont multipliées. Quel rôle les écoles de photographie peuvent-elles jouer dans ce mouvement ? Est-ce un enjeu national, européen, mondial ? Comment pouvons-nous garantir à tou.te.s un parcours à opportunités égales ?

Modérateur :
Arno Gisinger, maître de conférence à l’université Paris 8

Intervenantes :
Anna Fox (photographe et professeure à UCA, Royaume-Uni).
Véra Léon (enseignante-chercheuse et artiste)
Vladimira Kotra (Institute of creative photography in Opava, Tchéquie)
Marta Gili (directrice de l’ENSP, Arles)

Table ronde 2 : Diversité géographique : la fin de l’eurocentrisme ?

Comment eurocentrisme et diversité se conjuguent-ils ? Une diversité intra-européenne fait elle sens ? Pourquoi choisir une école de photographie européenne ?

Modérateur :
Arthur Crestani (artiste-photographe)

Intervenant.e.s :
Gilberto Güiza-Rojas (artiste-photographe)
Stéphanie Robin (Le Fresnoy)
Vangelis Ioakimidis (TransEurope Photography Project)
Simlova Stepenka (artiste, FAMU, Prague)

Échange avec le public

Conclusion : Véronique Figini, maîtresse de conférence, ENS Louis-Lumière

 

Cet événement est bilingue français-anglais (traduction simultanée).

En partenariat avec l’ENS Louis-Lumière

Dans le cadre de Paris Photo

Le pass sanitaire est obligatoire pour accéder aux manifestations. Les modalités d’accès étant susceptibles d’évoluer en fonction de la situation sanitaire, nous vous invitons à consulter bnf.fr avant votre venue.


Grande Commande Photographique du Ministère de la Culture


À l’image de la commande DATAR de 1986, les lauréat.e.s de cette grande commande photographique sont missionné.e.s pour réaliser une radioscopie de la France. Les lauréat.e.s disposeront de sept mois pour réaliser un projet photographique et d’une bourse de 22 000 euros.

En 2022, ont été séléctionnés :

  • Jéromine Derigny (Photo, 1992)
  • France Keyser
  • Marion Poussier (Photo, 2003)
  • Frédéric Stucin (Photo, 2002)
  • Rebecca Topakian (1 an ENSLL puis deux années ENP Arles)
  • Franck Tomps (Photo, 1997)

En 2021, ont été séléctionnés :

  • Julie Balagué (Photo 2010)
  • Samuel Bollendorff (Photo 1994)
  • Gilles Coulon (Photo 1988)
  • Jean-Robert Dantou (Photo 2003)
  • Hélène David (Photo, 1994)
  • Bertrand Desprez (Photo 1988)
  • Olivier Jobard (Photo 1990)
  • Olivier Monge (Photo 1998)

Ainsi que Lionel Charrier, membre du jury

Encore bravo à eux.

Samuel Bollendorff (photographie, 1994) publie « Faiseurs d’anges »

https://www.ens-louis-lumiere.fr/samuel-bollendorff-photographie-1994-publie-faiseurs-danges